dimanche 20 avril 2008

Un grand faux témoin: Elie Wiesel

par le Professeur Robert Faurisson

Partie I

Elie Wiesel a reçu en 1986 le prix Nobel de la Paix. Il est généralement présenté comme un témoin de l'"Holocauste" des juifs et, plus particulièrement, comme un témoin de l'existence des prétendues chambres à gaz homicides. Dans Le Monde du 17 octobre 1986, en première page, sous le titre "Un Nobel éloquent", on souligne que cette attribution du prix Nobel à Elie Wiesel vient à point car:

On a vu ces dernières années, au nom d'un prétendu "révisionnisme historique", s'élaborer des thèses, notamment francaises, visant à remettre en cause l'existence des chambres à gaz nazies et, peut-être au delà, le génocide juif lui-même;

Mais en quoi Elie Wiesel serait-il un témoin des chambres à gaz? De quel droit exigerait-il que nous croyions un seul instant à ce mode d'extermination? Dans le livre autobiographique censé rapporter son expérience d'Auschwitz et de Buchenwald, il ne mentionne nulle part les chambres à gaz. Il dit bien que les Allemands exterminaient les juifs mais... par le feu, en les jetant vivants dans des fournaises en plein air au vu et au su de tous les déportés! Pas moins! Le faux témoin Wiesel n'a pas eu de chance. Ayant à choisir entre plusieurs mensonges de la propagande de guerre des Alliés, il a choisi de défendre le mensonge du feu au lieu de celui de l'eau bouillante, du gaz ou de l'électricité. En 1956, date à laquelle il a publié son témoignage en yiddish, le mythe du feu restait encore vivace dans certains milieux. Il est à l'origine du terme Holocauste. Aujourd'hui il n'y a plus un seul historien pour l'accréditer. Le mythe de l'eau bouillante et celui de l'électricité ont, eux aussi, disparu. Reste le gaz.

Le mensonge du gaz a été accrédité par les Américains: voyez le War Refugee Board Report publié en novembre 1944. Le mensonge des juifs tués à l'eau bouillante ou à la vapeur d'eau (précisément à Treblinka) a été accrédité par les Polonais: voyez le document de Nuremberg PS-3311. Le mensonge de l'électricité a été accrédité par les Soviétiques: voyez l'article de la Pravda du 2 février 1945, p. 4, sur "Le combinat de la mort à Auschwitz".

Le mensonge du feu est d'origine indéterminée. Il est en quelque sorte vieux comme la propagande de guerre ou de haine. En 1958, Wiesel a publié sous le titre La Nuit la version francaise de son témoignage, avec une préface de Francois Mauriac (Editions de Minuit, 178p.). Il dit qu'à Auschwitz il y avait une fosse incandescente pour les adultes et une autre pour les bébés. Il écrit:

Non loin de nous, des flammes montaient d'une fosse, des flammes gigantesques. On y brûlait quelque chose. Un camion s'approcha du trou et y déversa sa charge: c'étaient des petits enfants. Des bébés! Oui, je l'avais vu, de mes yeux vu... Des enfants dans les flammes. (Est-ce donc étonnant si depuis ce temps-là le sommeil fuit mes yeux?) (p. 57)

Un peu plus loin, il y avait une autre fosse à flammes gigantesques où les victimes pouvaient "agoniser durant des heures dans les flammes" (p. 58). La colonne dont faisait partie Wiesel fut conduite par les Allemands à "trois pas" de cette fosse, puis à "deux pas". "A deux pas de la fosse, on nous ordonna de tourner à gauche, et on nous fit entrer dans une baraque." (p. 60)

Témoin exceptionnel, Wiesel assure avoir rencontré d'autres témoins exceptionnels. A propos de Babi-Yar, localité d'Ukraine où les.Allemands ont exécuté des Soviétiques et, parmi ceux-ci, des juifs, Wiesel écrit:

Plus tard, j'appris par un témoin que, pendant des mois et des mois, le sol n'avait cessé de trembler; et que, de temps en temps, des geysers de sang en avaient giclé. (Paroles d'étranger, Editions du Seuil, 1982, 192 p., p. 86)

Ces mots n'ont pas échappé à l'auteur dans une minute d'égarement: une première fois, il les a écrits, puis un nombre indéterminé de fois (au moins une) il a bien dû les relire sur épreuves; enfin ces mots ont été traduits dans diverses langues comme tout ce qu'écrit cet auteur.

S'il a personnellement survécu, c'est bien entendu par miracle. Il dit qu'à Buchenwald les Allemands envoyaient "chaque jour 10.000 personnes à leur mort. J'étais toujours parmi les derniers cent près de la porte de sortie. Ils nous arrêtaient là. Pourquoi? ("Author, Teacher, Witness", Time, 18 mars 1985, p. 79).

Germaine Tillion a analysé en 1954 le "mensonge gratuit" à propos des camps de concentration allemands. Elle a alors écrit:

Ces personnes [qui mentent gratuitement] sont, à vrai dire, beaucoup plus nombreuses qu'on ne le suppose généralement, et un domaine comme celui du monde concentrationnaire-- bien fait, hélas, pour stimuler les imaginations sado-masochistes-- leur a offert un champ d'action exceptionnel. Nous avons connu [c'est G. Tillion qui continue de parler ici] de nombreux tarés mentaux, mi-escrocs, mi-fous, exploitant une déportation imaginaire; nous en avons connu d'autres-- déportés authentiques-- dont l'esprit malade s'est efforcé de dépasser encore les monstruosités qu'ils avaient vues ou dont on leur avait parlé et qui y sont parvenus. Il y a même eu des éditeurs pour imprimer certaines de ces élucubrations, et des compilations plus ou moins officielles pour les utiliser, mais éditeurs et compilateurs sont absolument inexcusables, car l'enquête la plus élémentaire leur aurait suffi pour éventer l'imposture. ("Le Système concentrationnaire allemand (1940-1944)", Revue d'Histoire de la Deuxième Guerre mondiale, juillet 1954, p. 18, note2.)

G. Tillion n'a pas eu le courage de donner des exemples et des noms. Mais c'est l'usage. On convient qu'il y a de fausses chambres à gaz qu'on fait visiter aux touristes et aux pèlerins, mais on ne nous dit pas où. On convient qu'il y a de faux "grands témoins" mais on ne nomme en général que Martin Gray, escroc notoire dont Max Gallo, en toute connaissance de cause, a fabriqué sur commande le bestseller Au Nom de tous les miens.

On nomme parfois aussi Jean-Francois Steiner. Son best-seller Treblinka (1966) avait été présenté comme une oeuvre dont chaque détail était garanti par des témoignages écrits ou oraux; en réalité, il s'agissait d'une fabrication due, au moins en partie, au romancier Gilles Perrault (Le Journal du Dimanche, 30 mars 1986, p. 5). Marek Halter a, de son coté, publié en 1983 La Mémoire d'Abraham; comme souvent à la radio, il y fait état de son expérience du ghetto de Varsovie; or, s'il faut en croire un article de Nicolas Beau, pourtant très favorable à l'auteur (Libération, 24 janvier 1986, p. 19), le petit Marek, âgé d'environ 3 ans, et sa mère ont quitté Varsovie en octobre 1939 et non en 1941, c'est-à-dire avant la constitution du ghetto par les Allemands. Son livre aurait été vraisemblablement écrit par un nègre: Jean-Noel Gurgan. Filip Muller est l'auteur de Trois ans dans une chambre à gaz d'Auschwitz, préface de Claude Lanzmann, prix 1980 de la LICRA (Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme, dirigée par Jean-Pierre Bloch); ce best-seller nauséabond est le résultat du travail d'un nègre allemand, Helmut Freitag, qui n'a pas hésité devant le plagiat; voyez Carlo Mattogno, "The Filip Muller's Plagiarism" repris dans Auschwitz, un caso di plagio, Edizioni la Sfinge, Parme, Italie, 1986, 30p. La source du plagiat était Médecin à Auschwitz, autre best-seller fabriqué de toutes pièces par un certain Miklos Nyiszli. Ainsi toute une série d'ouvrages présentés comme des documents authentiques ne sont que des compilations dues à différents nègres: Max Gallo, Gilles Perrault, Jean-Noel Gurgan (?), Helmut Freitag...

On aimerait savoir ce que G. Tillion pense aujourd'hui d'Elie Wiesel. Chez ce dernier le mensonge n'est certes pas gratuit. Il se dit plein d'amour pour l'humanité. Il ne recule pourtant pas devant l'appel à la haine. A son avis:

Tout juif, quelque part en lui, devrait se ménager une zone de haine-- une haine saine et virile-- pour ce que l'Allemand personnifie et pour ce qui persiste dans l'Allemand. Agir autrement serait trahir les morts. ("Rendez-vous avec la haine", Legends of Our Time, New York, Avon Books, 1968, p.1778.) '

Au début de l'année 1986, quatre-vingt-trois députés du Bundestag avaient pris l'initiative de proposer Elie Wiesel pour le prix Nobel de la Paix: ce serait, avaient-ils affirmé, "un grand encouragement pour tous ceux qui concourent activement à la réconciliation." (RFA, The Week in Germany, 31 janvier 1986, p. 2). C'est ce que l'on appelle "passer du national-socialisme au national-masochisme".

Jimmy Carter avait besoin d'un historien pour présider sa Commission présidentielle de l'Holocauste. Comme le dit si bien Arthur Robert Butz, il choisit donc un "histrion": Elie Wiesel. Même le journal Le Monde, dans l'article susmentionné, est obligé de faire allusion au caractère histrionique que certains déplorent chez Elie Wiesel. Il le fait en ces termes:

Naturellement, même parmi ceux qui approuvent la lutte de l'écrivain juif américain découvert jadis par le catholique Francois Mauriac, il en est qui lui font grief d'avoir trop tendance à transformer en "dolorisme" la douleur juive ou d'être devenu le grand prêtre d'une "gestion planifiée de l'Holocauste".

Il n'est pas de business qui vaille le Shoah-business. Il y a cinq ans déjà Léon A. Jick écrivait:

La plaisanterie dévastatrice selon laquelle "il n'est pas de meilleur business que le Shoah-business" représente, c'est triste à dire, une vérité reconnaissable. (The Holocaust: its Use and Abuse within the American Public, Yad Vashem Studies, Jérusalem, 1981, xiv, p. 316.)

Elie Wiesel lance des appels alarmés et enflammés contre les auteurs révisionnistes. Il sent la partie lui échapper. Il va lui devenir de plus en plus difficile de maintenir la croyance délirante selon laquelle les juifs ont été exterminés ou ont fait l'objet d'une politique d'extermination, notamment par le recours à de prétendues chambres à gaz homicides. Serge Klarsfeld vient d'admettre que jusqu'ici on n'a pas encore publié de vraies preuves de l'existence de ces chambres à gaz; il promet des preuves; il donne son meilleur échantillon; cet échantillon est grotesque. (Voy. VSD, interview, 29 mai l986, p. 37.) Sur le plan scientifique, c'en est fini du mythe des chambres à gaz. A vrai dire, ce mythe a expiré lors du colloque de la Sorbonne (29 juin-2 juillet 1982) tenu, il y a quatre ans, sous la présidence de Raymond Aron et de Francois Furet. Reste à faire connaître la nouvelle au grand public. Cependant, pour Elie Wiesel, il importe au plus haut point de cacher cette nouvelle. D'où le fracas médiatique, qui ira en s'amplifiant. Plus les journalistes parlent, plus les historiens se taisent.

Mais il y a aussi des historiens qui osent élever la voix contre le mensonge et la haine. C'est le cas de Michel de Bouard, ancien résistant, déporté à Mauthausen, membre du Comité d'histoire de la deuxième guerre mondiale de 1945 à 1981 (date de son intégration dans l'Institut d'histoire du temps présent), membre de l'Institut de France. Il faut lire sa poignante interview dans Ouest-France, 2-3 août 1986, p.6. Au passage, il reconnaît courageusement que, pour propre part, il a, en l954, dans une étude scientifique, cautionné l'existence d'une chambre à gaz là où, en définitive, il n'a pas pu en exister: à Mauthausen.

Le respect dû aux souffrances de toutes les victimes de la seconde guerre mondiale et, en particulier, aux souffrances des déportés exige de la part des historiens un retour aux méthodes de routine de la critique historique.

Quelques mois après une première publication et une diffusion importante de ce texte de R.Faurisson, P.Vidal-Naquet déclarait: "Le rabbin Kahane, cet extrémiste juif [...] est moins dangereux qu'un homme comme Elie Wiesel qui raconte n'importe quoi... Il suffit lire certaine description de La Nuit pour savoir que certaines de ses descriptions ne sont pas exactes et qu'il finit par se transformer en marchand de Shoah... Eh bien lui aussi porte un tort, et un tort immense, à la vérité historique." (Zéro, avril l987, p. 57.)

Partie II

En 1988, je publiais dans les Annales d'histoire révisionniste [(1)] un article intitulé: "Un grand faux témoin: Elie Wiesel", où j'écrivais notamment:

"Elie Wiesel a reçu en 1986 le prix Nobel de la Paix. Il est généralement présenté comme un témoin de l'"Holocauste" des juifs et, plus particulièrement, comme un témoin de l'existence des prétendues chambres à gaz homicides [...]. Mais en quoi Elie Wiesel serait-il un témoin des chambres à gaz? De quel droit exigerait-il que nous croyions un seul instant à ce mode d'extermination? Dans le livre autobiographique censé rapporter son expérience d'Auschwitz et de Buchenwald, il ne mentionne nulle part les chambres à gaz. Il dit bien que les Allemands exterminaient les juifs mais... par le feu, en les jetant vivants dans des fournaises en plein air au vu et au su de tous les déportés! "(p. 163).

Dans une note, je précisais que l'auteur de La Nuit, récit autobiographique, ne faisait aux gazages homicides qu'une seule allusion vague et fugace à la page 109: Elie Wiesel, qui aime bien prendre Dieu pour interlocuteur, lui dit:

"[ces hommes-ci] que Tu as laissé torturer, égorger, gazer, calciner, que font-ils? Ils prient devant Toi! "(Ibid., p. 168, n. 1).

En 1992, un révisionniste suisse, Jurgen Graf [(2)], eut la curiosité de comparer la version originale française de « La Nuit » (1956) [(3)] avec la traduction en allemand parue, en 1962, sous le titre « Die Nacht zu begraben, Elischa » (La Nuit pour enterrer les morts, petit Elie) [(4)]. Cette traduction due à Curt Meyer-Clason se révéla scrupuleusement exacte, sauf sur un point: il semblait que toutes les occurrences où se rencontraient, dans la version française, les mots de "crématoire (s)" ou de "four (s) crématoire (s) " avaient laissé place, sous la plume de l'excellent traducteur, au mot de "Gaskammer (n)" (chambres à gaz). Une révisionniste française, doublée d'une germaniste, A. W., voulut bien se charger pour moi d'un travail de vérification, dont je la remercie. Le résultat de ce travail est le suivant:

En treize occurrences, "crématoire (s)" ou "four (s) crématoire (s)" ont été changés en "Gaskammer (n)" et, en une occurrence, en "Vernichtungslager" (camp d'extermination doté de chambre (s) à gaz). En une occurrence, "exterminés" a été changé en "vergast" (gazés). Donc, au total, en quinze occurrences, le traducteur allemand a mis du gaz là où l'auteur n'en avait pas mis. Les pages où peuvent se vérifier ces manipulations sont les suivantes, respectivement dans l'édition originale française et dans la traduction allemande:

Page 57/ Seite 53 (2 fois)

" 58/ " 54

" 61/ " 57

" 62/ " 57

" 67/ " 62 (2 fois)

" 84/ " 76

" 101/ " 90

" 108/ " 95

" 109/ " 95

" 112/ " 98

" 129/ " 113

" 163/ " 140

" 174/ " 150 [(5)]

Il est intéressant de noter que, dans les deux dernières occurrences, le camp dont parle E.Wiesel n'est plus celui d'Auschwitz, quitté en janvier 1945, mais celui de Buchenwald. Autrement dit, le camp de Buchenwald, dont tous les historiens ont fini par admettre qu'il ne possédait pas de chambres à gaz homicides, se voit ici pourvu... de chambres à gaz homicides! A mes yeux, la responsabilité personnelle d'E. Wiesel est engagée dans ces manipulations frauduleuses, lesquelles, comme on peut le constater, revêtent un caractère délibéré et systématique. Cette responsabilité demeurera engagée aussi longtemps que l'auteur ne se sera pas publiquement expliqué sur son rôle dans l'affaire de cette curieuse traduction en allemand.

Il est un autre point sur lequel j'attends depuis plusieurs années une explication de notre homme: pourquoi, en janvier 1945, a-t-il décidé de quitter Auschwitz avec les Allemands plutôt que d'attendre sur place les Soviétiques? Pourquoi son père et lui ont-ils, après mûre réflexion et alors que les Allemands leur en laissaient le choix, opté pour un départ avec leurs "exterminateurs" allemands plutôt que pour une attente, sur place, de leurs "libérateurs" soviétiques?

Il faut relire la fin de La Nuit sur ce troublant épisode de la vie des Wiesel, père et fils. Pour commencer, rappelons qu'E. Wiesel a toujours insisté sur le caractère strictement autobiographique de son ouvrage. Encore en 1990, il déclarait: "Every word of it is absolutely true" (Chaque mot en est absolument vrai)[(6)].

Dans les pages 124-130 de La Nuit, il raconte que, détenu à Auschwitz à l'âge de 16 ans, il eut, un jour de la fin 1944, à souffrir d'une infection au pied droit. "Un grand médecin juif, un détenu comme nous [mon père et moi-même]" décida qu'une opération chirurgicale était nécessaire (p. 124).

Le jeune Elie fut admis à l'hôpital d'Auschwitz "dans des draps blancs [...]. Ce n'était pas mal du tout, l'hôpital: on avait droit à du bon pain, à de la soupe plus épaisse" (Ibid.). Son médecin assista de bout en bout à l'opération chirurgicale jusqu'au réveil du jeune patient. Peu après, en janvier 1945, les Allemands annoncèrent l'évacuation du camp: "Les malades peuvent rester à l'infirmerie. Ils ne seront pas évacués" (p. 129). Le jeune homme consulta son père. "Il était perdu dans ses méditations. Le choix était entre nos mains. Pour une fois, nous pouvions décider nous-mêmes de notre sort. Rester tous deux à l'hôpital, où je pouvais faire entrer [mon père] comme malade [ce qu'il n'était pas] ou comme infirmier [ce qu'il n'était pas non plus], grâce à mon docteur. Ou bien suivre les autres" (p. 129-130).

La suite du récit nous l'apprend: bien que le jeune homme eût encore du mal à marcher, la décision fut prise d'un commun accord: ce serait-- et ce fut-- le départ vers l'Ouest avec les Allemands, le 18 janvier 1945 (p. 130-133) [(7)] .

Comment tout cela peut-il s'accorder avec une politique d'extermination systématique des juifs, surtout des juifs malades ou incapables de travailler?

Le père d'Elie Wiesel allait mourir de dysenterie à Buchenwald. Lui-même et deux de ses soeurs allaient survivre à la guerre. Elie Wiesel se fait beaucoup voir et entendre. Ses soeurs sont d'une remarquable discrétion [(8)].

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