« La crise des subprimes est, ou aura été d’une gravité qui devrait dissuader de feindre l’action une fois de plus, et convaincre d’agir vraiment. C’est-à-dire radicalement. » Frédéric Lordon propose un plan d’action pour défaire la capacité de nuisance acquise par une finance qui s’est autonomisée dans la sphère sociale, prenant ainsi en otage l’activité humaine dans son ensemble au profit d’un secteur ou le court termisme, l’irresponsabilité devant les effets de son activité sont la norme. Cette crise ne doit pas, ne peut pas rester sans suite. Les pouvoirs publics devront procéder à une redéfinition des règles et des produits mis en oeuvre par la finance. En la matière, l’Europe peut agir unilatéralement si nécessaire, car elle a atteint une masse critique qui le lui permet.
samedi 26 avril 2008
Quatre principes et neuf propositions pour en finir avec les crises financiers
par Frédéric Lordon, 23 avril 2008 article original
« La crise des subprimes est, ou aura été d’une gravité qui devrait dissuader de feindre l’action une fois de plus, et convaincre d’agir vraiment. C’est-à-dire radicalement. » Frédéric Lordon propose un plan d’action pour défaire la capacité de nuisance acquise par une finance qui s’est autonomisée dans la sphère sociale, prenant ainsi en otage l’activité humaine dans son ensemble au profit d’un secteur ou le court termisme, l’irresponsabilité devant les effets de son activité sont la norme. Cette crise ne doit pas, ne peut pas rester sans suite. Les pouvoirs publics devront procéder à une redéfinition des règles et des produits mis en oeuvre par la finance. En la matière, l’Europe peut agir unilatéralement si nécessaire, car elle a atteint une masse critique qui le lui permet.
« La crise des subprimes est, ou aura été d’une gravité qui devrait dissuader de feindre l’action une fois de plus, et convaincre d’agir vraiment. C’est-à-dire radicalement. » Frédéric Lordon propose un plan d’action pour défaire la capacité de nuisance acquise par une finance qui s’est autonomisée dans la sphère sociale, prenant ainsi en otage l’activité humaine dans son ensemble au profit d’un secteur ou le court termisme, l’irresponsabilité devant les effets de son activité sont la norme. Cette crise ne doit pas, ne peut pas rester sans suite. Les pouvoirs publics devront procéder à une redéfinition des règles et des produits mis en oeuvre par la finance. En la matière, l’Europe peut agir unilatéralement si nécessaire, car elle a atteint une masse critique qui le lui permet.
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