samedi 19 avril 2008
L'État au service des banques
À maints égards, la crise financière internationale qui s’étend est un splendide révélateur des tromperies et des reniements de la part des promoteurs de la globalisation financière, qu’ils soient dans les conseils d’administration des grandes banques privées ou dans les hautes sphères des États. Durant ces dernières années, le discours dominant proclamait que tout allait pour le mieux sur le front de la dette : grâce à de nouveaux produits, comme la titrisation des créances, le risque se trouvait dispersé entre une multitude d’acteurs. Point de crise en vue, les profits étaient mirobolants et la croissance soutenue.
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